
Pour une poignée de nanars de Michel Pagel, chez Rivière Blanche
Le bouquiniste a lu Personnellement, je le dis sans honte : je VEUX Pagel à imaJn’ère. Y a pas de raisons ! Tout d’abord, c’est un joueur[1], il a traduit du donj’[2] avec FeuMeuFeu[3]. EN plus il a traduit du Haldeman et...